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Nahida Choobi, son mari Ahmad et leurs enfants Mohamed et Mariam vivent déplacés depuis un an et demi. Leur village de Naqoura à deux kilomètres d’Israël, a été l’un des premiers bombardés par l’Etat hébreu en octobre 2023, puis occupé et vidé de sa population. Avec le retrait des troupes israéliennes, ils ont pu retourner chez eux, mais tout est détruit.

ARTE Reportage

Après la guerre entre Israël et le Hezbollah, la famille Choobi tente de retrouver son village à la frontière.

Liban : retour au Sud

Comme de nombreux Gazaouis déplacés, Rami Abou Jamous est de retour chez lui, dans la ville de Gaza, près d’un an et demi après sa fuite sous les bombardements. Rentrer chez soi, c’est « une victoire » dit Rami.

“On veut rester et reconstruire » : l’espoir de Rami Abou Jamous, journaliste palestinien.

Gaza : le retour

Le 24 février 2022, des milliers de Russes avaient manifesté pour dire non à la guerre lancée par Poutine contre l’Ukraine, comme Oksana Akmayeva, journaliste de 39 ans. Nous l’avions rencontrée au printemps de 2022, à Kaliningrad en Russie. Depuis, elle s’est résolue à quitter son pays. Elle vit désormais en Allemagne, à Stade, près de Hambourg où nous l’avons retrouvée.

Que sont-ils devenus ?

En 2022, elle a dit non à l’invasion de l’Ukraine. Oksana a quitté la Russie pour l’Allemagne. Exilée, mais libre.

Oksana, exilée russe en Allemagne

Avec leur fille adoptive et les jumelles qui leur ont été confiées, Jana et Hartmut ont démarré une nouvelle vie en Grèce à bord du bus scolaire américain qu’ils ont customisé. Ils sont convaincus que les enfants pourront y tourner plus facilement la page. Mais qu’en pense le service de protection de l’enfance allemand ? Et comment se passera la rentrée scolaire en Grèce ?

Famille d’accueil : une nouvelle vie en Grèce

Démarrer une nouvelle vie en Grèce à bord du bus scolaire américain. Mais qu’en pense le service de protection de l’enfance allemand ?

ARTE Regards

Les attaques au couteau entre jeunes se multiplient dans toute l’Europe. Tandis que des pays comme l’Allemagne discutent de la manière de remédier à ce phénomène relativement récent, la classe politique et la société civile britanniques luttent depuis des années contre ces violences. Les vidéos montrant des affrontements au couteau entre gangs et jeunes délinquants fleurissent sur les réseaux sociaux. À Londres, les travailleurs sociaux sont persuadés que l’escalade des interdictions et sanctions ne suffira pas à endiguer cette vague de violence.

L’inquiétante guerre des couteaux à Londres

Les attaques au couteau entre jeunes se multiplient dans toute l’Europe. Des pays comme l’Allemagne discutent de la manière de remédier à ce phénomène relativement récent...

Derrière le conflit se cache aussi en toile de fond une autre guerre, moins médiatique et moins sanglante, c’est celle qui oppose les églises orthodoxes russe et ukrainienne. 
 

L’église ukrainienne soutient totalement la résistance et ravive les tensions avec le Patriarcat de Moscou.

Ukraine : la guerre des religieux

En 2014, à Gaza, il était difficile mais encore possible d'exercer le métier de journaliste. Dix ans plus tard, après les attaques du Hamas du 7 octobre 2023, c'est devenu mission impossible.

Accès interdit aux reporters de se rendre à Gaza. Rami Abou Jamous, journaliste local, a pris le relais.

Feurat Alani : Gaza, l’impossible journalisme

Le reporter qui est également chef opérateur explique combien il est important pour lui aussi de soigner l’image de ses reportages. Selon lui, cela sert la dignité des hommes, des femmes, des enfants qu’il filme. La belle image c’est leur faire honneur. Filmer leur dénuement mais sans misérabilisme.

Prix Albert Londres 2024, Antoine Védheilhé, s’attache à donner la parole aux sans voix.

Antoine Védeilhé : filmer les invisibles

Les fixeurs et souvent fixeuses sont les femmes et les hommes, qui aident les journalistes à réaliser leurs reportages. Oksana habite à Kiev, elle cherche les contacts des personnes à filmer pour les journalistes étrangers qui viennent couvrir la guerre et assure la traduction des interviews. « Sans les fixeurs, nous ne sommes rien » témoigne notre reporter Vladimir Vasak. 

Oksana était professeure de russe quand la guerre a démarré, elle ignorait tout du métier de fixeur.

Ukraine : Oksana Leuta, profession fixeuse

Journaliste reporter d’images depuis plus de 20 ans à ARTE, Elsa Kleinschmager a parcouru tous les continents. Elle a souvent couvert des terrains agités et des guerres, récemment en Ukraine. Mais elle raconte n’avoir jamais peur quand elle est en train de tourner. La peur, c’est parfois le soir quand elle est seule dans sa chambre d’hôtel.

Journaliste reporter d’images depuis plus de 20 ans à ARTE, Elsa Kleinschmager dévoile son sac de reporter.

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Elsa Kleinschmager : "ma caméra, mon armure"

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