Le chaos irakien

Die Konflikte im Irak

Irakijski chaos

Des reportages à Mossoul avec les veuves et les orphelins de l'Etat Islamique, auprès des Yézidis massacrés ou réduits en esclavage, dans les charniers de Daech et dans le camp de Digaba où Charlie Chaplin fait renaître l’espoir. Des sujets d’actualité pour mieux comprendre la situation de l’Irak à l'aune du retrait américain.

Aujourd’hui l’Iran pousse les États-Unis vers la sortie. Toutes les troupes de combat américaines sont parties à la fin du mois de décembre 2021. Les soldats qui restent sur place vont former les forces irakiennes.

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Le retrait des troupes américaines d’Irak réveille le spectre de la guerre et des divisions sanglantes.

Irak : à l’heure du repli des troupes américaines

De retour d’Irak, la journaliste Chloé Rémond revient sur les conditions du tournage de son reportage à Bagdad, dans un camp de réfugiés et dans un village après le retrait des troupes américaines, fin 2021. Elle y a rencontré Hassan, Safaa et Bahaa, trois Irakiens emblématiques d’une génération sacrifiée, qu’elle nous présente.

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De retour d'Irak, Chloé Rémond présente les protagonistes du reportage tourné après le retrait des troupes US.

Retour de reportage : Chloé Rémond en Irak

A l'heure de l'épuration dans le Mossoul d'après-guerre, ces enfants et leur famille sont ceux que plus personne ne veut voir : ce sont les veuves et les orphelins des membres de l'Etat Islamique. Sans papier d'identité, ils n'ont pas accès à l'école ni aux distributions de nourriture et ils ne peuvent se déplacer librement. Ils vivent dans la peur et les humiliations.

Nés sous l’EI, orphelins ou déplacés, 45 000 enfants survivent aujourd’hui sans aucune identité dans les camps.

Irak : les fantômes de Mossoul

Le 3 août 2014, les Yézidis, une minorité confessionnelle kurdophone, adepte d’un monothéisme qui leur vaut la réputation "d’adorateurs du diable", deviennent la cible de Daesh en Irak. 

Massacrés et réduits à l’esclavage par Daesh, près de 300 000 Yézidis vivent dans des camps au nord de l’Irak.

Irak: Yézidis les survivants

Ces charniers sont pourtant des scènes de crimes qui doivent être protégées, et analysées. Entre police scientifique et archéologie,tributaires d'un protocole précis destiné à optimiser les chances d’identification des victimes. Les informations récoltées permettront, peut-être, à la justice irakienne ou à la Cour Pénale Internationale, de juger les responsables des massacres. 

Des dizaines de fosses communes ont été identifiées, ouvertes par des militaires ou des civils, pour tenter de retrouver leurs proches disparus…

Irak : Les charniers de Daech

De Mossoul à Bagdad, en passant par Bassorah, la jeunesse qui peuple l’Irak d’aujourd’hui ne ressemble à aucune autre. Au chaos politique et sécuritaire dans lequel ils ont grandi, ces jeunes doivent aussi composer avec le poids des normes sociales irakiennes.

La liberté par l'art : la jeunesse irakienne tente de s’extraire du carcan imposé par la tradition sociétale.

Irak : l’art est une arme

Des femmes yézidies boxent dans une salle de sport, au cœur d'un camp de réfugiés, tout au nord de l'Irak. Pour recouvrer dignité et confiance en soi, elles se forment à l'autodéfense. On les appelle les « survivantes ».

L'ombre de Daesh menace toujours les femmes Yézidis, par la violence dans les camps et les chantages exercés.

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Retour de reportage : Chloé Rémond en Irak

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Irak : retour au Sinjar

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